Ligue Française de Protection du Cheval
Délégué départemental Bouches-du-Rhône : Bernard PIERRET

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Bernard PIERRET
Délégation
des Bouches du Rhône
mobile : 06 79 81 13 80
Réseau associatif Ecoforum http://www.lfpc.asso.fr/

La Ligue Française pour la Protection du Cheval a été fondée en 1850 sur l'initiative du Général Duc de Grammont.

Premier Président de la Ligue, le Duc de Grammont, après plusieurs autres présidents lui ayant succédé en poursuivant son oeuvre, eut comme lointain successeur en 1909, son petit-fils, le Comte de Grammont.

Celui-ci réorganisa la Ligue en Société régie par la loi de 1901.

La LFPC est reconnue d'utilité publique depuis 1969.

En son sein, oeuvrent un directeur technique national, six directeurs techniques régionaux, vingt trois délégués régionaux et cent quatre vingt délégués départementaux, tous bénévoles. Les affaires portées en justice sont plaidées de concert avec trente millions d'amis dans le cadre du partenariat signé l'été 2000.

La Ligue Française de Protection du Cheval a pour but de veiller sur la sécurité et le bien vivre des chevaux. C'est dire que la protection doit intervenir " avant " les mauvais traitements avec d'autant plus d'efficacité " qu'après " qu'ils aient été infligés.

Cette prévention repose sur la connaissance du cheval, de ses besoins et de ses limites physiques et morales. Transmettre cette connaissance, donner un conseil au moment opportun, c'est déjà faire de la protection.

Actuellement, les délégués de la LFPC, reçoivent environ trois cents plaintes par mois. Fort heureusement, toutes ne sont pas justifiées, la méconnaissance du public en matière de besoins équins l'amenant parfois à s'émouvoir à tort.

Dans les affaires qu'elle a à traiter, la LFPC est fréquemment appelée à intervenir auprès de personnes qui, par ignorance, peur ou maladresse maltraitent les chevaux. La plupart d'entre elles connaissent un dénouement heureux.

Reste les cas de maltraitance, d'infractions caractérisées à la législation en vigueur, d'abandon ou de vols, cas où, la LFPC peut saisir la justice et se constituer partie
civile. En cas d'urgence ou de péril pour le cheval, le juge d'instruction peut décider de confier l'animal, jusqu'au jugement, à une oeuvre de protection animale.

La LFPC vit grâce à ses adhérents et à une subvention des haras nationaux et de la Fédération Française d'Équitation. Apporter une aide financière, en y adhérent, c'est lui permettre de défendre plus efficacement les chevaux ... le vôtre peut-être !